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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 16:35

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 16:00

A Théo mon camarade.

 

C'est un camarade qui nous a quitté et bien plus encore. 

C'est dans la plus grande dignité -de celle qui force le respect de chacun- qu'il a fait face à une douloureuse maladie ces dernières semaines. Cette même dignité qu'on lui a connu à l'occasion de la disparition de Jeannette, son épouse, il y a quelques semaines à peine. 

Une dignité qui donne à voir l'Homme que fut Théo tout au long de son existence. 

Une force de caractère qui l'amena tout jeune homme à se lever contre l'envahisseur nazi dans le maquis comme commandant  du camp   Wodli  jusqu'à devenir un héros de la Résistance et de la Libération   reconnu de tous. 

Un homme de   valeur(s) et de conviction(s) qui l'amenèrent à s'engager comme militant au Parti Communiste Français jusqu'aux plus hautes responsabilités départementales et nationales.

Un élu dont l'engagement fut voué au refus de l'injustice et des inégalités dans sa ville de Firminy jusqu'à l'assemblée nationale comme député de la quatrième circonscription de la Loire. 

Un exemple pour chacun de nous, une référence pour moi. Il m'avait fait l'honneur et le bonheur de m'apporter un soutien public et chaleureux pour les élections législatives en 2012 a l'occasion desquelles j'ai pu mesurer combien il était toujours apprécié des femmes et des hommes de ce territoire. J'ai encore en tête ces discussions au cours d'un déjeuner cet été ou m'avait a nouveau frappée  sa clairvoyance politique en toute simplicité.

 

Theo tu t'en es allé mais tu nous laisses en héritage la fidélité de ton engagement, ton exemplarité. 

Tout simplement la fierté de t'avoir compté comme camarade.


Christophe Faverjon, 

maire d'Unieux

 

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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 16:36

debat.jpg

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 11:40

Unieux. Rythmes scolaires : le maire contre la décharge de l’État sur les communes

 le-choix-d-appliquer-ou-non-la-reforme-en-septembre-2013-se.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le choix d’appliquer ou non la réforme en septembre 2013 se fera lors du conseil municipal du mois de mars.  

Photo d’archive Aude Lions

 

Scolarité. La réforme des rythmes scolaires fait débat. Christophe Faverjon, maire de la commune, donne son avis.


Ce sera à coup sûr le nerf de la guerre du prochain conseil municipal. La réforme des rythmes scolaires risque d’entraîner un important surcoût dans le budget de fonctionnement de la commune. Le premier magistrat, Christophe Faverjon, bien que d’accord sur le fond, est mécontent de la forme.

Que pensez-vous de la prochaine réforme des rythmes scolaires ?

C’est un point positif de revoir les rythmes scolaires car ils n’étaient pas appropriés à ceux des enfants. S’il y a l’unanimité sur le fond, en revanche ça pèche sur la forme. L’État veut clairement se décharger sur les communes. On risque d’aggraver les fractures sociales car les villes les plus riches pourront mettre en place ces aménagements horaires, ce qui n’est pas le cas des communes les plus pauvres. Les aides n’y feront rien, elles sont trop faibles. 45 minutes ça peut être aussi bien de la garderie ou un enseignement artistique, mais comment peut-on les financer ?

Comment cela peut se traduire sur la commune ?

Il faut trouver du personnel ce qui n’est pas chose facile dans les petites communes et a fortiori rurales. Ce sont plus largement tous les établissements d’accueil d’enfants qui vont devoir revoir leur fonctionnement. Cela va compliquer les choses en ce qui concerne le calendrier de disposition des gymnases car les associations les voudront aux mêmes horaires. Et puis il faudra chauffer les locaux une demi-journée de plus et faire passer plus régulièrement les agents d’entretien. On est sur un transfert de compétence et même si rien ne change sur le fond il faut espérer des modifications sur la mise en œuvre.

Allez-vous appliquer la réforme dès la rentrée 2013 ?

Pour l’instant le choix n’est pas tranché. J’ai voulu consulter l’ensemble des partenaires sociaux, culturels et éducatifs pour en débattre. Les remarques permettront d’avancer sur ce choix afin de faire quelque chose qui réponde aux besoins et qui soit consensuel. Pour cela j’organiserai une réunion le jeudi 21 février à 18 heures à la salle Couderc. La décision sera prise lors du conseil municipal du mois de mars.

Propos recueillis par Bastien Devidal


Publié par "LE PROGRES" le 06/02/2013 à 06:00

 

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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 16:37

Théo Vial-Massat possède « la première place dans le cœur des Appelous »

Hommage. Hier matin, Théo Vial-Massat a reçu sa 70 e carte d’adhérent au parti communiste, dans les locaux de la section locale.

70 CARTE THEO

Le « texto »
du maire d’Unieux
Théo Vial-Massat et son
épouse Jeannette, au centre,
ont été félicités. Les maires
de Firminy et de La Ricamarie
sont venus les saluer.
Le maire d’Unieux, retenu
à Paris, était excusé mais
n’a pas manqué d’envoyer
un « texto », communiqué
à Théo Vial-Massat

Photo Damien Nore  

Théo Vial-Massat, 93 ans, a reçu sa 70 e carte d’adhérent au parti communiste français (PCF), hier matin, dans les locaux de la section de Firminy. « C’est la fédération départementale qui nous a avertis de l’événement, nous proposant de marquer le coup », sourit Jean-Jacques Charroin, le responsable, qui a eu, hier « la chance et le bonheur d’accueillir un homme d’une très grande valeur, qui possède la première place dans le cœur des communistes et des habitants de Firminy ».

.« Un homme d’exception comme il y en a très peu », a pour sa part, commenté Marc Faure, maire de La Ricamarie, commune où est né Théo Vial-Massat. Marc Petit, maire de Firminy, a également salué son prédécesseur : « Théo est une figure de notre ville, de la vallée de l’Ondaine et du département. »

L’homme, résistant, a pris sa première carte au parti en 1944 mais glisse : « Mon appartenance remonte à mon entrée au FTP », quelques années auparavant. Il a évoqué quelques souvenirs, des moments vécus au sein de du PCF, comme le jour où « Maurice Thorez me demande d’aller voir Picasso à Vallauris (N.D.L.R. : le peintre y a vécu entre 1948 et 1955), afin qu’il nous dessine une nouvelle colombe. Picasso a répondu : Je voudrais faire une colombe avec une paire de couilles comme ça (sic) mais le parti n’en voudra pas ! »

Théo Vial-Massat a également rendu hommage aux grands noms du parti, ainsi qu’à son épouse, Jeannette, qui a, elle, reçu hier sa 67 e carte d’adhérent.

Avec une certaine émotion, l’ancien résistant et homme politique, plusieurs fois décoré, et qui reste un personnage connu et reconnu à Firminy et ailleurs, a montré son attachement à cette « grande et belle famille », qu’il n’a donc jamais quittée depuis 1944, au lendemain de la Libération.

Pour quelqu’un qui a évoqué, le 12 décembre dernier dans ces colonnes, être rentré au PCF par hasard… Chapeau.


Damien Nore

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 16:05

Dans une période où les médias sont mobilisés sur des comptages et re-comptages de l’UMP, il me semble nécessaire de revenir aux questions fondamentales de la situation économique et sociale.

L’aggravation de la crise en Grèce, au Portugal et en Espagne démontre que ce n’est pas en ajoutant de l’austérité à la crise que nous sortirons notre pays de la situation résultant de la politique de la droite.

Pour ma part je considère que François Hollande et le gouvernement doivent prendre en compte les aspirations de tous les électeurs de la gauche qui ont participé à leur élection.

 

Christophe FAVERJON


PS Au moment de publier cette lettre j’ai en tête l’image de M Martin délégué CFDT de Florange en pleurs de colère qui écoute « l’annonce »du Premier  Ministre. Je partage la déception de ce syndicaliste. Après les gesticulations médiatiques d’Arnaud Montebourg le Président de la République et son Premier Ministre cèdent aux injonctions de Mme Parisot et de M Mital sans même en informer, autrement qu’à la Télé les responsables syndicaux en lutte pour leur outil de travail et l’industrie de notre pays.

 



DEBAT AU SENAT :

POURQUOI NOUS REFUSONS L’AUSTERITE !

 

LETTRE OUVERTE DES SENATEURS

DU GROUPE COMMUNISTE REPUBLICAIN ET CITOYEN (CRC)

 



Depuis plusieurs semaines, les sénatrices et sénateurs du groupe communiste républicain et citoyen ont travaillé sur des textes fondamentaux et structurants pour l’avenir de notre pays.

Parmi ces textes, le Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG), la règle d’or, le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) et le projet loi de Finances (PLF) pour 2013, sont sans doute les plus emblématiques.

Nos votes sur ces textes ne relèvent pas d’une posture circonstancielle. Ce sont des votes responsables qui prennent appui sur la volonté de changement qui s’est majoritairement exprimée dans notre pays en mai et juin derniers.

Ils portent les combats du Front de gauche contre la droite et l’extrême droite, mais sont aussi exigeants pour que cette volonté de changement se concrétise par des décisions et des actes forts du gouvernement, attendus par nos concitoyens pour répondre à leurs besoins.

En n’approuvant pas ces textes, notre groupe a provoqué leur rejet par le Sénat.

Faut-il le rappeler ? Il n’y a pas de majorité de gauche au Sénat sans les 20 membres du groupe CRC.

Dès les premiers jours de la session extraordinaire de juillet, notre groupe qui souhaite la réussite de la gauche, c’est-à-dire du changement, a manifesté sa disponibilité pour travailler à la préparation de textes législatifs.

Le gouvernement n’a pas vu ou plutôt, n’a pas voulu voir le rôle charnière de notre groupe.


Nos propositions n’ont été examinées, et encore moins prises en compte, ni en amont de la présentation des projets de loi, ni durant leur examen en commission, comme en séance publique.

Les textes étaient à prendre ou à laisser. Nous n’avons pu à aucun moment, véritablement discuter, ni de l’orientation ni de leur contenu.

Nous l’affirmons avec force : nous sommes acteurs du changement. Notre seule ambition est de répondre aux attentes et exigences de notre peuple.

Le Front de gauche, nous avons soutenu au second tour de l’élection présidentielle le candidat François Hollande. Nous avons ainsi permis la défaite de la droite à laquelle nous nous sommes opposés hier comme aujourd’hui, et comme nous le ferons demain.

Fort de ses 4 millions de voix, soit 11% des votes, le Front de gauche est une composante essentielle de la majorité politique actuelle.

Avec le Front de gauche, comme le Parti communiste en son sein, ont fait le choix de ne pas participer au gouvernement qui a, d’entrée, annoncer des orientations trop éloignées d’une politique de progrès et de justice sociale.

L’absence de rupture avec les politiques libérales qui ont prévalu depuis tant d’années, a justifié l’abstention de nos camarades du groupe GDR à l’Assemblée nationale lors de la déclaration de politique générale du Premier Ministre le 3 juillet dernier, position que nous avons soutenue et fait nôtre au Sénat où ce débat se déroulait sans vote.

Notre désaccord avec un certain nombre d’orientations de la majorité gouvernementale, celle qui a voté la confiance au Premier Ministre, est connu et nos votes d’aujourd’hui ne peuvent constituer une surprise.

Avec le Front de gauche, nous avons rejeté le traité Sarkozy-Merkel qui devait être réorienté, comme le nouveau Président de la République s’y était engagé quand il était candidat, et qui fut finalement soumis à la ratification des parlementaires tel quel, sans qu’aucune virgule ne soit modifiée.

Ce recul face aux libéraux européens et les marchés est malheureusement un acte fondateur du quinquennat.

De cet acte découle les insuffisances, les contre-sens, la fausse route actuelle.

Alors que le peuple a voté pour « un changement maintenant », ce sont les dogmes libéraux qui, au-delà de quelques mesures positives, perdurent. Ils ont pour nom : compétitivité, réduction des dépenses publiques et coût du travail.

L’annonce du pacte de compétitivité, avec la hausse d’une TVA, pourtant dénoncée hier, a confirmé et renforcé nos craintes d’un refus d’affronter le monde de la finance, qualifié d’ennemi sans visage par le candidat François Hollande.

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 n’a pas rompu avec la terrible logique de la maîtrise des dépenses de santé qui signifie toujours moins de soins pour une part croissante de la population et toujours plus d’inégalités face à la vieillesse.

Nous avons décidé, comme les député(e)s du groupe GDR à l’Assemblée nationale, de voter contre un texte sans ambition, ne se donnant pas les moyens de revenir sur les mesures les plus régressives des « années » Sarkozy. Nous avons maintenu ce vote quitte à provoquer le rejet par le Sénat. C’est une question de cohérence, c’est une question de respect.

Nous ne pouvons accepter - car c’est une mesure importante et symbolique - le renforcement de la taxation des retraites pour le financement de la protection sociale.

Le gouvernement connaissait notre hostilité de principe à cette mesure comme à l’absence de remise en cause des exonérations de cotisations sociales patronales.

Il n’a pas bougé d’un iota sur ces points. Plus généralement, un seul de nos 50 amendements a été accepté par la majorité gouvernementale et un seul autre a été repris par le Rapporteur général. Nous avons donc maintenu le vote contre.

Concernant le projet de loi de Finances dont le débat a commencé le 23 novembre, nous préconisons pour l’instant, tant sur les recettes que sur les dépenses, une abstention, car même si sur le plan des recettes un effort de rééquilibrage a été effectué, l’amendement « pigeons » a réduit la portée de cette avancée en retirant 750 millions de recettes sur la taxation des plus-values en matière de cession d’entreprise. Par ailleurs, nous constatons que les dépenses sont toujours marquées par le dogme libéral de réduction coûte que coûte des dépenses publiques.

Pierre Laurent, Secrétaire national du Parti communiste français, André Chassaigne, président du groupe GDR à l’Assemblée nationale, Eliane Assassi, présidente de notre groupe au Sénat, ont été reçus par le Premier Ministre.

Une liste d’amendements adoptés l’an dernier par la majorité de gauche du Sénat lui a été remise. Ces amendements ne relèvent pas de la surenchère.

Ils marquent une inflexion significative vers plus de justice sociale et fiscale.

Jusqu’à ce jour, le gouvernement maintient l’affirmation du Premier Ministre sur l’absence de marge de manœuvre et le refus de nos propositions.

De toute évidence, le carcan européen, les premières conséquences du pacte budgétaire et de sa règle d’or se font sentir.

 Le changement est-il encore à l’ordre du jour ? La question mérite d’être posée.

Notre abstention sur le budget entraînera sans doute le rejet du projet de budget par le Sénat.

Nous avons toujours dit que nous voterions les mesures qui vont dans le bon sens : ainsi, nous avons voté et voteront le projet de loi relatif au logement.

Nous avons voté en juillet le collectif budgétaire qui, alors, marquait un infléchissement net par rapport à la politique de Nicolas Sarkozy.

Nous avons pleinement participé à l’élaboration de la loi contre le harcèlement sexuel et l’avons bien entendu votée.

Nous nous engageons pleinement pour le vote dans les meilleurs délais du projet de loi instaurant le mariage pour tous.

Nous ne votons pas pour ce qui nous paraît contraire à nos engagements et aux chances de réussite de la gauche.

Outre les projets clefs de ratification du traité budgétaire européen, de l’instauration de la règle d’or, ou de loi de finances ou de financement de la sécurité sociale, nous n’avons pas voté le texte relatif au statut des étrangers qui prolonge la stigmatisation d’hier.

Nous avons vivement rejeté un texte relatif à l’énergie qui engageait le démantèlement du service public, mettait en danger le principe d’égalité et aurait abouti à faire payer, à terme, plus cher l’énergie aux plus démunis.

Nous exigeons par contre dans l’urgence, l’adoption de mesures sociales dans ce domaine. Nous avons déposé une proposition de loi en ce sens qui peut être adoptée par toute la gauche dès demain.

En décembre, si rien ne bouge, nous nous opposerons au projet de loi de finances rectificative. En effet, il doit, pour l’essentiel, intégrer les dispositions du pacte de compétitivité, qui prennent à contre-pied la gauche, en allant à l’encontre des intérêts populaires.

On nous dit : « attention ! Vous vous alliez avec la droite. C’est une alliance contre nature, vous trahissez la gauche ».

C’est oublier bien vite que tant sur la ratification du traité, la loi organique portant règle d’or, le texte relatif aux étrangers (instaurant une garde à vue spécifique) que sur la reconduction des mesures sarkozistes relatives au terrorisme, seuls les renforts des voix de l’UMP et de l’UDI, ont permis au gouvernement de faire adopter ces textes par le Sénat.

Les sénatrices et sénateurs du groupe communiste républicain et citoyen ne sont pas figés dans une attitude de refus systématique et stérile. Nous avons des propositions, en particulier pour la justice sociale, pour une lutte déterminée contre le chômage avec la mesure emblématique d’interdiction des licenciements boursiers pour une nouvelle répartition des richesses dans notre pays. Nous agissons avec détermination pour que ces propositions soient entendues et prises en compte.

Nous ne sommes pas dans l’opposition, fûsse-t-elle de gauche, car nous revendiquons haut et fort notre appartenance à cette majorité politique qui le 6 mai a permis de chasser la droite du pouvoir.

Mais ne pas nous entendre est sans nul doute prendre le risque de renoncer à cette majorité du changement, et décevoir cruellement les aspirations populaires.

 

                                                                       Paris, le 28 novembre 2012

Membres du groupe CRC du Sénat :

 

 

Mme ASSASSI Eliane

Mme BEAUFILS Marie-France

M. BILLOUT Michel

M. BOCQUET Eric

Mme COHEN Laurence

Mme CUKIERMAN Cécile

Mme DAVID Annie

Mme DEMESSINE Michelle

Mme DIDIER Evelyne

M. FAVIER Christian

M. FISCHER Guy

M. FOUCAUD Thierry

Mme GONTHIER-MAURIN Brigitte

M. LAURENT Pierre

M. LE CAM Gérard

M. LE SCOUARNEC Michel

Mme PASQUET Isabelle

Mme SCHURCH Mireille

M. VERGES Paul

M. WATRIN Dominique

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 17:30

photo-christophe.jpgMercredi 7 novembre à l’invitation du collectif du Front de gauche Haut Forez , Serge Vray, conseiller général et maire de chenereilles et Christophe Faverjon maire d’unieux ont débattu avec les citoyens du traité européen de stabilité.

 

 

 

 

 

 

 

photo-christophe-2.jpgDans un débat riche, Serge Vray a souligné la gravité des conséquences de la rigueur qu’impose le traité sur les collectivités territoriales et par là les services publics puisque dés 2014 les dotation s de l’Etat vont diminué ; Christophe Faverjon a évoqué les conséquences anti croissance et anti emploi de la potion ultra libérale administré par le traité Merkozy et développé les propositions du Front de gauche pour une Europe de la relance avec un plan d’investissement écologique ainsi qu’une réorientation de la Banque centrale européenne qui permette un refinancement direct des Etats en difficultés et le financement d’une politique de réindustrialisation en Europe.

 

photo-christophe-3.jpgTous deux ont appelé à une réorientation de la politique du gouvernement conforme aux attentes exprimées au printemps dernier.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 17:14

logo-cac.JPG14 novembre : contre l’austérité, pour la solidarité !

 

Le 14 novembre, pour la première fois en Europe, une grève générale internationale est organisée par le mouvement syndical au Portugal, en Espagne, en Grèce, à Chypre et à Malte, et soutenue par les mouvements sociaux et des partis politiques. Dans le même temps, la Confédération européenne des syndicats a lancé un appel à une journée  d’action et de solidarité coordonnée en Europe.

 

Cette mobilisation exceptionnelle émerge au moment où, partout en Europe, les politiques d’austérité organisent la baisse des salaires et des pensions, la destruction des droits sociaux, de la négociation collective et des services publics, et provoquent récession,  chômage, précarité et misère. Elle témoigne d’une convergence des mobilisations qui se sont construites dans de nombreux pays contre ces politiques imposées sans débat démocratique, et qui mènent l’Europe dans le gouffre.

 

En France, le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique mène depuis des mois une mobilisation unitaire pour dénoncer l’instrumentalisation de la dette publique et l’imposition de politiques d’austérité économiquement stupides, écologiquement irresponsables et socialement injustes – touchant de plein fouet les populations les plus précaires, femmes, jeunes, ouvriers, mal-logés, immigré-es. En septembre, il a organisé des mobilisations contre le Traité budgétaire pour provoquer le débat public que le gouvernement tentait d'esquiver.

 

Aujourd’hui, le gouvernement poursuit sur une voie sans issue, avec un budget d’austérité qui essaye désespérément de tenir l’objectif irréaliste d’un déficit public limité à 3 % du PIB en 2013. En cédant aux sirènes du patronat qui réclame un « choc de compétitivité », il poursuivrait, comme en Grèce en Espagne et au Portugal, sur la voie mortifère du dumping salarial et de la remise en cause des protections collectives.

 

En France comme en Europe, l’austérité doit cesser ! Ce n’est pas de purges budgétaires ou de concurrence exacerbée dont l’Europe a besoin, c’est de solidarité, d’une meilleure répartition des richesses, et de démocratie !


C’est pourquoi le Collectif appelle à participer aux manifestations organisées à l’initiative de l’Intersyndicale le 14 novembre. Au-delà du refus des mesures inacceptables imposées aux peuples d’Europe du Sud, c’est un appel à se battre pour une autre Europe, solidaire, écologique et démocratique ! 

 

Le 14 novembre et après, le Collectif contribuera à l’émergence de mobilisations à l’échelle européenne. Il participe et  soutient  le processus de l’Altersummit, qui sera lancé lors de la rencontre européenne à Florence du 8 au 11 novembre.

 

Le 14 novembre montre la voie : les mobilisations contre l’austérité doivent converger pour une Europe sociale et solidaire !

 

Le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique

 

Le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique (http://www.audit-citoyen.org/) est composé d’une soixantaine d’organisations associatives et syndicales, avec le soutien d’organisations politiques.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 17:04

Avec les Syndicats Européens, en france, à l’appel de : CGT, CFDT, FSU, SOLIDAIRES, UNSA et de nombreuses organisations et partis de gauche,


MANIFESTONS

 MERCREDI 14 NOVEMBRE à 11h

Bourse du Travail de ST ETIENNE.



Après avoir sévi en Grèce et infligé plan d’austérité sur plan d’austérité, les dirigeants européens, appliquant fidèlement le traité européen de stabilité, de coordination et de gouvernance  et  maintenant la limitation à 3% des déficits publics, pour faire plaisir aux banques et au « dieu marché », veulent imposer dans toute l’Europe une politique d’austérité.

  • C’est injuste socialement : - avec la disparition des services publics, l’augmentation du chômage, le recul des soins, des millions d’européens commencent à vivre en dessous du seuil de pauvreté.
  • C’est injuste économiquement : -la réduction du pouvoir d’achat, les effets du chômage, le recul des dépenses publiques amènent encore plus de récession. C’est déjà vrai en Grèce et en Espagne, si on ne réagit pas ce sera vrai en France.
  • C’est injuste politiquement : -le Président François HOLLANDE avait promis de renégocier le Traité Européen. En reniant ces promesses, les députés socialistes, avec l’appui des députés de droite, ont approuvé le Traité MERKEL SARKOZY sans la moindre modification.

En participant MERCREDI 14 NOVEMBRE à la Manifestation nous exprimerons notre refus des politiques d’austérité et notre exigence que la volonté exprimée par le peuple français en élisant un Président de Gauche soit respectée.

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 16:31

photo identite christopheAux lendemains des  drames de Toulouse, je suis, comme vous sur le coup d’une tristesse et d’une émotion intenses Quatre adultes tués, trois militaires dont deux étaient de confessions musulmanes, le troisième de confession catholique, un professeur de confession juive et trois enfants, élèves d’une école juive. Je pense aussi aux blessés civils et policiers qui ont fait un difficile et nécessaire travail qui a abouti à trouver le coupable et essayer de l’arrêter


 Le temps est aujourd’hui au recueillement et à la solidarité de cœur avec les familles des enfants et adultes touchés par cette tuerie sauvage  guidée par un fanatisme  nourri par la haine et la violence.

 Il nous faudra aussi réfléchir aux propos qui n’ont pas annihilé, chez un fanatique déséquilibré,  un tel  acte de haine et de violence.

 

Je veux bien croire  que le Président de la République et le Ministre de l’Intérieur puissent avoir de la compassion  face à ce drame .Chacun, surtout au plus haut niveau de l’Etat, devrait veiller aux conséquences de ses propos. ..Je regrette encore plus le climat délétère développé récemment par  les propos sur la viande hallal et casher ou sur le soi disant contrôle de l’immigration. Nous devons veiller  à ne pas donner de justification à des sentiments de rejet de l’ « Autre », l’Immigré, le Juif ou le Musulman. M Sarkozy laisse à nouveau tomber son masque en mettant en s’appuyant sur cette triste actualité pour annoncer des mesures qu’il sait parfaitement inapplicables. Il avait d’ailleurs annoncé ces mêmes mesures il y a quelques années. Oui décidément notre pays mérite un autre président

 

Avec les responsables de toutes les religions françaises, pour vivre dans une société solidaire et pacifique nous devons combattre tout racisme, toute exacerbation et exploitation à des fins politiciennes de sentiments racistes

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Programme du Front de Gauche

lhumain dabordLe monde craque de toutes parts. Après l'éclatement de la bulle financière, l'économie mondiale est au bord d'une dépression historique. Les périls environnementaux s'emballent. En même temps, de l'autre côté de la Méditerranée, des tyrannies vieilles de plusieurs décennies vacillent. De quel côté les événements vont-ils aller ? Tout dépend des choix de société que nous ferons.

Ce livre-programme appelle à une révolution citoyenne dont il détaille le contenu à travers tous les aspects de l'existence : partager les richesses et combattre l'insécurité sociale, reprendre le pouvoir aux banques et aux marchés financiers, faire la planification écologique, convoquer une Assemblée Constituante pour la Sixième République...

"L'Humain d'abord"
Programme du Front de Gauche et de son candidat commun Jean-Mélenchon

Éditions Librio. Prix : 2 euros

pour lire le programme du Front de Gauche, Cliquez ici